Les dix enfants que Madame Ming n’a jamais eus

Dans aller-retour à Londres il y a retour. « Concerto à la mémoire d’un ange » à l’aller, et « Les dix enfants que madame Ming n’a jamais eus » au retour. C’était définitivement un voyage Eric-Emmanuel Schmitt. Si l’aller m’a laissé dans le doute, je savais avec certitude de retour à la gare du nord, que la vérité m’est préférable au fantasme de l’incertitude. C’était définitivement un bon voyage. Bientôt les US j’espère et quelques précieuses heures de lecture en perspective.

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