Aller-retour à Londres en début de semaine. Et voilà que s’offrent à moi les quelques heures de solitude nécessaires à la lecture des quatres petites nouvelles d’Eric-Emmanuel Schmitt : Concerto à la mémoire d’un ange. Oscar et la dame rose m’avait ému aux larmes cet été, et me voilà plongé dans l’exitation de la découverte. Londres, Gare de St Pancras et une question en tête : sommes nous maitre de nous-même face à notre destin? J’ai adoré ce voyage.
Vive le train
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